Archives de la catégorie ‘La politique de la ville’
Le candidat d’extrême droite a encore fait polémique en souhaitant que les enfants en situation de handicap restent uniquement scolarisés dans des établissements spécialisés.
Fidèle à ses idées d’un autre temps, il diffuse maintenant son venin auprès des plus fragiles. Son obsession au cloisonnement et sa conception de la séparation dans la société n’épargneront pas nos enfants.
La loi de 2005 qui introduit la notion d’inclusion est fondamentale. Elle responsabilise d’abord l’État par rapport à toutes ces familles qui ne trouvaient pas de structures adaptées avant 2005 pour lesquelles c’était le parcours du combattant : isolées, abandonnées, sans recours, avec une MDPH complètement dépassée. Le service public de l’Éducation doit veiller à l’inclusion scolaire de tous les enfants, sans aucune distinction. Une approche nouvelle est consacrée : quelque soient les besoins particuliers de l’élève, c’est à l’école de s’assurer que l’environnement est adapté à sa scolarité. C’est le combat pour l’égalité des droits et des chances de tous les enfants, c’est la philosophie de la loi de 2005.
Derrière ce concept d’inclusion l’idée est encore plus profonde : Faire en sorte que l’enfant en situation d’handicap grandisse dans la société qui l’entoure, et non pas en périphérie dans des institutions séparées. C’est aussi de rendre visible tous les enfants dans leurs diversités de situation et de handicaps afin que pour chaque futur citoyen il devienne normal de jouer dans la cours avec un enfant en situation d’handicap comme il sera normal demain de travailler avec un adulte en situation d’handicap. Il faut persister dans cette direction et assurer une place pour tous dans la société !
Malgré cette volonté affichée, force est de constater que de nombreux obstacles persistent. Des personnels enseignants formés en nombre insuffisant, des Accompagnants d’Élèves en Situation de Handicap mal rémunérés dont les contrats s’arrêtent en milieu d’année, un environnement insuffisamment préparé, la mauvaise prise en compte des enfants en situation d’handicap issu du champ mental, des bâtiments pas toujours adaptés… Il reste encore du chemin à parcourir pour atteindre véritablement l’inclusion, notre volonté doit être à la hauteur des ambitions que l’on vise pour une société bienveillante et inclusive.
Zacharia BEN AMAR
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Comme chaque année je veux souhaiter une bonne rentrée à tous les enfants de France, en particulier ceux de Nanterre, et à tous les acteurs de la réussite (enseignants, animateurs, ATSEM, personnels, associations). Mais cette rentrée se fait, et tout le monde le concède, dans une atmosphère complètement particulière.
D’abord pour moi, pour la 1ere fois depuis 1993 je souhaite une bonne rentrée en tant que simple citoyen. Oui, après avoir présidé AUTHENTI-CITE de sa création en 1993 à 2007, puis avoir eu l’honneur d’être maire adjoint à l’Education de 2008 à 2020, c’est en simple citoyen que j’écris ce mot de rentrée, après 27 ans d’investissement. Mais, mon attachement à la réussite de tous les enfants n’a pas perdu une ride.
Une rentrée pas comme les autres car elle génère beaucoup d’inquiétude en lien avec la crise sanitaire. Cette crise nécessite un travail en commun sans précédent de tous les acteurs de l’école, principalement les parents. Le gouvernement aurait certainement dû s’appuyer davantage sur les fédérations de parents avant de prendre des décisions. Les propositions du conseil scientifique semblent être de bon sens et à même de rassurer parents comme enseignants pour le bien-être et la sécurité des enfants.
Une rentrée dont la réussite est essentielle. Depuis mars 2020 les enfants de France en grande majorité n’ont pas pu se rendre à l’école, une conséquence du confinement. Pour tous, le retard accumulé va peser lourd. En effet, malgré l’engagement des équipes enseignantes et des familles, on ne s’improvise pas maitre ou maitresse. Mais cet éloignement va peser encore davantage pour ceux dont l’école est le seul moteur de réussite et d’apprentissage. Très clairement, le confinement a accru les inégalités dont l’école était déjà porteuse. Maintenant, comment rattraper le retard ? Comment se remettre dans le rythme ? Comment ne pas laisser les enfants les plus fragiles sur le bord de la route ? Voilà les questions qui se posent et auxquelles la puissance publique va devoir répondre. Quelques idées :
Le plan Educatif de Territoire est un outil essentiel pour concevoir, travailler et réfléchir aux politiques éducatives sur la globalité du temps de l’enfant. À Nanterre cette réflexion avec l’ensemble des acteurs est déjà entamée et elle devra continuer, s’intensifier.Renforcer les brigades de remplacement : Aucun jour de cours ne doit manquer à Nanterre. Grâce à l’exigence de tous, le nombre de jours de cours en moins à Nanterre a diminué mais ce n’est pas suffisant.Instaurer le recrutement sur profil des enseignants dans les REPRenforcer la présence des animateurs de la ville sur le temps libre qui est le temps le plus injuste en particulier sur les 4 quartiers prioritaires à Nanterre. Au vu de la situation, peut-être faut-il rouvrir les centres de loisirs le samedi dans ces 4 quartiers.Favoriser la prise en main et l’équipement de l’informatique par les enfants. On a constaté qu’il s’agissait là d’un élément d’accroissement des inégalités.Consolider les associations d’accompagnement scolaire
Une rentrée déboussolante pour des milliers de jeunes. Il s’agit là d’une très grosse inquiétude sur laquelle on ne sent pas les pouvoirs publics (Gouvernement, ville, département …) s’investir. Très clairement on peut se réjouir des bons résultats du BAC 2020 mais le corolaire est que de nombreux étudiants se retrouvent à la recherche d’une formation. Il y avait déjà 100 000 jeunes sans formation post-BAC en 2019. Après le BAC 2020, ce nombre va forcément grimper. Frappés par la crise, inquiets pour leur avenir, avec la crainte de devenir une génération sacrifiée : les jeunes sont en première ligne dans la « France d'après », la crise sanitaire, et rien n’est préparé. C’est, pour moi, la plus grosse critique qu’on peut faire d’autant que, contrairement à l’enseignement primaire et secondaire, ce sont là des jeunes qu’on perd de vue après le BAC et qui restent seuls faces à leurs difficultés. Des associations de Nanterre comme ZY’VA, Cerise et Authenti-Cité connaissent bien le problème. Une grande conférence sur ce sujet à Nanterre me semble nécessaire. Le travail du dispositif ville SOS rentrée a le mérite d’exister mais la problématique est d’ampleur inégalée.
Malgré cette situation, je veux vous souhaiter la meilleure rentrée possible, en sécurité et tournée vers la réussite. J’ai une pensée pour le service Enseignement, Enfance, la DPSR, les directeurs/rices d’école, les enseignants, les ATSEM, les principaux, les proviseurs… qui ont œuvré pour faire en sorte que l’école fonctionne. Aux parents, je veux dire que plus que jamais il faut croire en l’école de la République pour faire société et pour faire Nation.
Zacharia BEN AMAR
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2 septembre 2019 | Education
Retrouvez la lettre de la rentrée que j'ai eu le plaisir de distribuer ce matin devant l'école Pablo Neruda .
Dans ce document vous découvrirez la multitude des actions, les travaux effectués dans les établissements et les moyens octroyés à la mise en place des mesures gouvernementales . Autant d'exemples qui prouvent , si cela était encore nécessaire, que cette année encore vous pourrez compter sur notre indéfectible soutien.
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Lors de la traditionnelle conférence de la rentrée, Jean Michel Blanquer le ministre de l’Education Nationale a tenu à jouer la carte de l’apaisement et a placé cette nouvelle année scolaire sous le signe de l’égalité des chances, du bien-être au travail des personnels et de l’environnement.
Il s’agit là, sans aucun doute, là d’une bonne entrée en matière. Cependant
face à la fin d’année scolaire chaotique que notre pays vient de vivre il faudra plus que des bonnes paroles pour que
l’apaisement s’installe durablement
Il faut dire que la confusion la plus totale qui a régné durant les corrections
des épreuves du BAC, le manque de dialogue dans le cadre de la réforme du lycée
et les 60 000 élèves laissés sur le tapis par Parcoursup ….. Ont particulièrement plombé l’ambiance !
S’agissant de Parcousup, même si on tente de nous vendre une deuxième session
moins mouvementée, je fais partie de
ceux qui ne se satisfont pas que, dans notre pays, 7 % des bacheliers qui aspirent
à poursuivre des études supérieures n’aient pas la possibilité de le faire faute
de place.
Il est peut-être temps d’arrêter de se focaliser sur des faux problèmes de modes
d’inscriptions ou de fiabilités de logiciel. Nous connaissons la cause L’explosion
démographique de nos universités: Le baby-boom de 2000 associé à la progression
du taux de réussite au bac. Il nous faut donc y apporter de véritable solution.
Pour avoir été, cette année, personnellement confronté, en tant que père de famille, à cette situation, je comprends parfaitement le désappointement des familles qui sont aujourd’hui sans aucune alternative pour leurs enfants à quelques jours de la rentrée. Je m’engage, d’ailleurs, en tant qu’élu à réfléchir à comment la municipalité pourrait aider les familles des jeunes Nanterriens concernés.
Ce vendredi, les enseignants, les chefs
d’établissements, les directeurs d’écoles ouvriront officiellement le bal de la
rentrée scolaire. Même si je sais que certains ont déjà repris le chemin de l’école soucieux
de préparer au mieux l’arrivée des élèves. Je tiens à leur souhaiter bon
courage et les remercier par avance pour le travail qu’ils accompliront au quotidien
auprès de nos enfants.
Je suis satisfait qu’enfin, le Ministre ait fait de la « juste reconnaissance du travail des
personnels » l’un des axes prioritaires de l’année. J’ose espérer qu’il s’agit là d’un véritable engagement et non pas seulement d’une promesse qui n’engagent que ceux y croient.
Avec tous mes collègues de la majorité, nous aurons le plaisir d’être présents à vos côtés, dès lundi matin, devant les écoles. Comme chaque année, nous distribuerons la lettre de la rentrée.
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Nous pouvons tous être fiers de notre lycée, c'est avec satisfaction que l'on constate que le taux de réussite au bac du lycée Joliot Curie a de nouveau progressé de 3 points par rapport à 2017 .
Ce taux est en constante progression depuis 2010.
Bravo à la communauté éducative dans son ensemble . Cette réussite est le résultat d'un investissement quotidien de tous et c'est très exactement pour cette raison que ce lycée doit conserver les moyens qui lui ont été octroyés !
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Depuis plusieurs semaines, des associations de parents d’élèves se mobilisent face à la dégradation des conditions d’enseignement dans plusieurs groupes scolaires. Les revendications des parents, soutenues et relayées par l’équipe municipale auprès de l’Education nationale, portent principalement sur le non remplacement des enseignants absents, et les annonces de fermetures de classes à la rentrée 2018.
Face à un taux élevé d’absentéisme des enseignants, qui s’explique en partie par la persistance de l’Education nationale à nommer des enseignants débutants ou contractuels dans des écoles qui nécessiteraient au contraire un personnel expérimenté, le nom remplacement de ces enseignants absents atteint des proportions préjudiciables à la scolarité des enfants.
Plusieurs exemples témoignent de cette situation. A l’école La Fontaine, une enseignante de CM2 a été absente pendant 4 mois, sans être remplacée. A l’école du Centre, il a fallu 3 mois pour remplacer une enseignante de CE2. A l’école Lucie Aubrac, les élèves d’une même classe ont connu jusqu’à 6 remplaçants différents depuis la rentrée. Bien d’autres cas identiques pourraient être cités.
Dans le même temps, les mesures de carte scolaire annoncées par la direction académique des services de l’Education nationale des Hauts-de-Seine à l’approche de la rentrée de septembre 2018, suscitent de vives inquiétudes.
Dix fermetures de classes sont envisagées. Elles se traduiront par une hausse significative des effectifs, atteignant jusqu’à 32 élèves par classe en moyenne dans certaines écoles. La moitié des établissements visés par ces fermetures de classes sont situées en réseaux d’éducation prioritaire (REP) ou présentant des fragilités sociales importantes, ce qui rend ces mesures d’autant plus incompréhensibles et inacceptables.
Il faut rappeler que la ville de Nanterre compte quatre quartiers « Politique de la ville », et sur 47 écoles, 28 sont classées en REP ou REP+, ce qui devrait conduire à reconnaître les besoins spécifiques de notre territoire et à mettre les bouchées doubles en mobilisant beaucoup plus de moyens que pour des villes qui ne sont pas confrontées à cette situation.
La détérioration du climat scolaire touche également les collèges et lycées de Nanterre. Ces établissements sont directement impactés par les absences d’enseignants non remplacées, et la disparition programmée des Centres d’Information et d’Orientation dans le cadre du projet de loi « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel ».
La réalité de ces faits va à l’encontre des discours d’autosatisfaction du Ministre de l’Education nationale. La généralisation des politiques d’austérité appliquée aux services publics n’épargne pas l’Education nationale, et a pour conséquence de rendre encore plus difficile les conditions d’enseignement, en particulier dans les quartiers populaires.
La ville de Nanterre, qui a fait de la réussite éducative l’une des priorités de son action, tient à alerter les pouvoirs publics de la réalité de cette situation et à exiger des mesures rapides.
C’est pourquoi, le conseil municipal de Nanterre réuni en séance le 12 juin 2018 demande au Ministère de l’Education nationale :
le renforcement des moyens de remplacement et la création de postes d’enseignants supplémentaires sur le territoire de Nanterre,
l’annulation des fermetures de classes injustifiées compte tenu de l’état des effectifs et du contexte social de certaines écoles ;
le maintien des décharges de direction pour les écoles maternelles Gorki et La Fontaine ;
le maintien d’un service public national d’orientation et le transfert du CIO de Nanterre sur son territoire communal.
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Il y avait bien longtemps que nous n’avions pas vu une préparation de rentrée scolaire aussi mouvementée et une situation dans les écoles de Nanterre aussi peu satisfaisante.
Il faut dire que le ministre de l’Education Nationale n’a pas qu’une réforme dans son chapeau. L’école obligatoire dès 3 ans, le dédoublements des CP et CE1 dans les écoles en REP, la réforme du Bac, les règles de sélection à l’université via la plateforme «Parcoursup»de la maternelle à l’université, aucun niveau n’est épargné par la machine « à détricoter ».
Cette histoire commence dès juin 2017 avec le décret sur les rythmes scolaires. Sous prétexte de liberté de choix, on met en réalité les villes en concurrence au dépend du principe fondateur de l’école en France c’est-à-dire l’Education NATIONALE.
Face à cette situation, la question fondamentale à se poser est : Peut-on faire des réformes ambitieuses sans aucun moyen supplémentaire ?
Le principe qui consiste « à déshabiller Pierre pour habiller Jacques » que semble vouloir adopter le gouvernement, ne peut pas être une réponse satisfaisante.
En effet il ne faudrait pas que la scolarisation des moins de 3 ans passe aux oubliettes au nom de l’obligation de scolarité à partir 3 ans.
Aujourd’hui à Nanterre l’obligation de scolarisation dès 3 ans est de l’ordre du symbole, puisque 96% des enfants le sont déjà. De plus cela obligera les villes à faire un gros cadeau aux établissements privés qui s’élèvera à Nanterre à environ 100 000 €.
En effet, les villes sont contraintes de subventionner le privé sous contrat pour toute scolarisation obligatoire.
Il ne faudrait pas non plus que le dédoublement de CP et de CE1 en REP entraine des fermetures de classe ayant pour conséquence d’altérer les conditions de scolarité d’autres élèves de la ville.
Ce que réclament légitimement parents et enseignants dans les mobilisations actuelles ce n’est pas une réforme supplémentaire, ce ne sont même pas des droits nouveaux mais tout simplement l’application du droit commun. C’est-à-dire donner aux enfants de Nanterre le nombre d’heure de cours dont ils sont en droit de bénéficier.
Ils demandent aussi l’égalité de traitement dans tous les territoires de la République, le remplacement des enseignants absents, l’arrêt de recrutement de contractuels au profit d’enseignants formés et expérimentés.
Cette mobilisation a trouvé un écho dans la colère des étudiants provoquée par La loi sur l'orientation et la réussite des étudiants (ORE) et sa plateforme «parcousup» qui modifie les modalités d'accès à l'université. En parallèle c’est tout le système d’orientation, alors même qu’il devrait être renforcé pour accompagner les jeunes dans leurs parcours, qui est en train d’être complètement démantelé.
Ces exigences ne sont pas insurmontables et elles doivent être surmontées. En tant qu’élus municipaux, au-delà d’octroyer des budgets conséquents pour contribuer à l’épanouissement de nos élèves, nous considérons qu’il est de notre devoir de battre le pavé avec les familles et les enseignants pour obtenir des moyens humains à la hauteur des besoins.
Zacharia BEN AMAR
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Après avoir subi, un plan de destruction massive sous les gouvernements de droite, l’éducation a été, sans conteste, un des domaines qui a engrangé les plus grandes réussites lors du mandat de François Hollande. Pourtant, sans évaluation et dans la précipitation, des mesures efficaces ont été rapidement détricotées par le gouvernement d’Edouard Philippe au prétexte d’imposer sa marque de fabrique dès la rentrée.
Pourtant, s’il y a un sujet sur lequel nous devrions dépasser définitivement toutes considérations politiciennes, c’est bien la réussite scolaire de nos enfants. Cela éviterait de changer de cap tous les 5 ans.
Faisant fi des recommandations de nombreux chrono biologistes et de l’académie de médecine mettant en exergue les méfaits de la longueur des journées sur les apprentissages de nos élèves et notamment les plus fragiles d’entre eux, la réforme des rythmes scolaires n’a pas été épargnée par ces bouleversements. Des mesures dérogatoires ont été mises œuvre dès la rentrée instaurant ainsi le troisième changement de rythme pour les écoliers en moins de dix ans.
Rendons nous à l’évidence, alors même que l’intérêt de l’enfant devrait être assumé par l’Etat, celui-ci, une nouvelle fois, se défausse sur les communes au prétexte de nous accorder une pseudo-liberté.
A Nanterre, nous avons refusé de nous laisser entraîner par le rythme endiablé imposé par le gouvernement. Contrairement à 43 % des villes qui ont modifié l’organisation de la semaine dès septembre dernier, nous prenons le temps de la concertation et de la réflexion avec la communauté éducative avant de procéder à d’éventuels changements.
Cependant nous le savons, l’exercice est périlleux. Même si nous considérons que cette mesure est bénéfique aux plus grands nombres des enfants, car nous n’avons pas lésinés sur les moyens pour offrir à chaque enfant un temps périscolaire de qualité, n’allons-nous pas, comme la quasi-totalité des communes restante, céder à la pression ?
Assumer la semaine de 4 jours et demi, c’est prendre le risque de créer une insatisfaction au sein de la communauté éducative, mais en même temps nous sommes persuadés que l’école ne peut pas changer sans l’assentiment de ses principaux acteurs.
Fort heureusement une solution consensuelle existe pour nous sortir de ce dilemme, nous sommes d’ailleurs en train de la construire avec vous !
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