Archives par Auteur

François Hollande sacré candidat socialiste pour 2012!

22 octobre 2011 | Au Parti Socialiste

François Hollande sacré candidat socialiste pour 2012 - Le Parisien François Hollande a été investi officiellement candidat socialiste pour 2012 lors d'une convention à Paris, samedi 22 octobre à la Halle Freyssinet, devant près de 4.000 militants et sympathisants survoltés. Il a prononcé un discours-fleuve d'une heure dix minutes dans lequel il a donné "rendez-vous le 6 mai pour la victoire". Mots-clés : hollande ps primaire Video de leparisienafp

En avant pour la victoire !

19 octobre 2011 | Au Parti Socialiste

Les Nanterriens et Nanterriennes ont placé François Hollande en tête du scrutin dimanche 16 octobre avec plus de 3200 votants. L’heure est au rassemblement des socialistes et de la gauche pour entamer du le vrai combat celui contre la droite. Gardons la dynamique ! La gauche est attendue ! Résultats du 16/10/2011 à Nanterre   Aubry Hollande Nul Blancs exprimés total Anc mairie 324 284 0 608 608 Voltaire 162 194 2 356 358 Balzac 69 108 1 177 178 Langevin 196 206 1 402 403 Ferry 176 206 1 382 383 Riou 136 151 0 287 287 Paquerettes 54 105 0 159 159 Decours 109 173 4 282 286 Neruda 177 207 2 384 386 Robespierre 74 123 1 197 198 Total voix 1477 1757 12 3234 3246 Taux 45,7% 54,3%      

François Hollande arrive en tête à Nanterre!

10 octobre 2011 | Au Parti Socialiste

[caption id="attachment_412" align="alignleft" width="150" caption="pour la victoire!"][/caption] Il faut confirmer l’élan et se rassembler largement pour conforter le candidat de la gauche face à Nicolas Sarkozy! Dimanche 16 ocotbre est le jour de la désignattion du candidat de la gauche! Désignons le candidat capable de battre Sarkozy!  Résultats des primaires citoyennes à Nanterre : 3095 votants exprimés Hollande : 1134 (38.74%). Aubry : 1067 (36.45%) Montebourg : 433 (14.79%) Royal : 255 ( 8.71%) Valls : 187 (6.39%) Baylet : 19 ( 0.65%)

La France a besoin de François Hollande!

22 septembre 2011 | Au Parti Socialiste

Zacharia Ben Amar et François HollandeLa candidature de François Hollande à la primaire socialiste n’est pas le résultat d’un arrangement, ni le fruit d' une candidature par défaut c’est le fruit d’un long cheminement, le résultat de la volonté d’un homme. Depuis le début je suis persuadé que François Hollande est celui qui saura réunir sur son nom une majorité de Français pour battre Nicolas Sarkozy. Il est un atout pour le Parti Socialiste une chance pour le pays.   Zacharia Ben Amar Maire adjoint de Nanterre en charge de l’Education Conseiller Communautaire  en charge de l’emploi

Collège Evariste Galois : La Municipalité de Nanterre demande le déblocage de la situation !

17 septembre 2011 | Education

 L’évolution de la situation au collège Evariste-  Galois, à Nanterre, suscite une vive inquiétude.  A la quasi unanimité, les enseignants sont en   grève depuis le mardi 13 septembre. Les cinq  cents élèves ne sont  plus accueillis dans les classes. Dans ce contexte,  il a fallu la présence de nombreux parents, d’enseignants et d’agents de la tranquillité publique de la ville pour que la tension perceptible à l’entrée du collège ne dégénère.  Cette situation de blocage est due au conflit qui oppose depuis plusieurs mois l’équipe enseignante au principal du Collège, auquel il est reproché en particulier l’absence de concertation sur plusieurs décisions importantes touchant au fonctionnement de l’établissement et au travail de l’équipe pédagogique. La situation a encore empiré depuis la rentrée de septembre, aboutissant cette fois à une grève des enseignants avec le soutien de nombreux parents.  L’institution éducation nationale doit prendre ses responsabilités dans ce conflit afin de permettre au plus vite aux collégiens de reprendre le chemin des cours.  Je me suis régulièrement entretenu de la situation avec les différents acteurs : Parents d’élèves, professeur et avec Monsieur l’Inspecteur d’Académie dans l’objectif de favoriser une solution.  J’ai reçu une délégation de parents le 14 septembre à la mairie de Nanterre et me suis rendu à une réunion au collège le vendredi 16 septembre à l’invitation des parents d’élèves.  Le Maire de Nanterre, Patrick Jarry, s’est adressé mercredi 14 septembre à l’Inspecteur d’Académie pour lui faire part de la très vive préoccupation que suscite l’évolution de cette situation, et lui demander que des mesures soient prises permettant le retour à un climat serein dans l’établissement. Dans la réponse qu’il lui a adressée dès aujourd’hui, l’Inspecteur d’Académie indique mettre en place plusieurs mesures dont la présence d’un Inspecteur « établissements et vie scolaire », et annonce la tenue prochaine d’un conseil d’administration. Ce conseil d’administration extraordinaire sous la présidence de l’Inspecteur d’Académie  aura donc lieu lundi  19 septembre à 18h30. Toutes les parties pourront s’exprimer et une solution devra être trouvée.  Il est nécessaire dans l’intérêt des enfants du quartier du Parc sud à Nanterre de ne pas laisser la situation se dégrader, de rétablir le dialogue et de retrouver un climat apaisé.  Zacharia Ben Amar Maire Adjoint de Nanterre en charge de l’enseignement

Avoir une grande ambition pour l’école, c’est avoir une grande ambition pour la France!

10 septembre 2011 | Education

[caption id="attachment_392" align="alignleft" width="300" caption="Echange entre Z.BEN AMAR et les parents de l'école Balzac"][/caption] Voilà la rentrée est passée, 12 millions d’élèves ont repris le chemin des écoles, parmi eux 10500 jeunes Nanterriennes et Nanterriens du primaire et 6000 du secondaire. Les écoles de Nanterre ont bénéficié d’un lifting complet pendant cet été ; 1.6 millions d’euros investis, sans compter le nettoyage  de nos équipements pour accueillir dans les meilleures conditions nos jeunes enfants. Et je veux à cette occasion remercier chaleureusement les équipes municipales qui ont travaillé dans ce sens. Cette attention portée à la qualité et au confort des locaux scolaires s’accompagne de toutes les actions menées pour contribuer au parcours éducatif de chacun. C’est le sens du dispositif « Apres l’école » qui s’étend cette année au groupe scolaire Jules Ferry. Quel contraste entre cette volonté de créer les conditions d’une vraie réussite pour tous et les décisions du gouvernement qui rendent les conditions de cette rentrée plus difficiles. En termes de moyens d’abord, avec la réduction massive et indistincte des postes, avec la suppression de la formation des enseignants, avec des rythmes scolaires inadaptés et avec l’affaiblissement de l’accueil pour les élèves handicapés. En termes d’esprit,  l’approche purement comptable des réalités scolaires, le mépris des fonctionnaires, les atteintes à la laïcité, autant de mises en cause insupportables à notre Education nationale. Il est temps que ça change rapidement, en 2012 ne ratons pas le coche. Avoir une grande ambition pour l’école, c’est avoir une grande ambition pour la France. Très bonne rentrée à tous ! Zacharia Ben Amar Maire Adjoint de Nanterre

Discours de François Hollande à La Rochelle le 26 aout 2011

29 août 2011 | Au Parti Socialiste, Vidéo

Avec François Hollande en avant pour la victoire! Discours de François Hollande à l'Oratoire, 26... par blog_francoishollande

Luc Bronner : « Avec plus de 40 % de chômeurs parmi les jeunes actifs, la situation des ZUS se rapproche de celle des pays d’Europe du Sud, voire du Maghreb »

19 août 2011 | La politique de la ville

 Depuis trente ans, la crise des banlieues fait partie de cette   exception sociale française, illustration explosive du  formidable décalage entre les promesses de la République et leurs réalisations. Trente ans ? Parce que quelques dizaines de jeunes, un soir de juillet 1981, quelques mois à peine après l’élection de François Mitterrand à l’Elysée, avaient incendié des voitures et exprimé, publiquement, leur colère aux Minguettes à Vénissieux, dans la banlieue lyonnaise.    Cet épisode avait ouvert le chapitre des  » étés chauds « , des  » rodéos « , des  » violences urbaines « , dont nos voisins européens ne cessent de s’étonner. Cet anniversaire coïncide, en un terrible raccourci, avec celui des émeutes des 16, 17 et 18 juillet 2010 dans le quartier de la Villeneuve à Grenoble. Comme si le paysage des quartiers restait désespérément le même. Comme si la chronique des banlieues devait se limiter aux poussées de fièvre, puis aux périodes d’oubli – celle que nous vivons aujourd’hui dans l’indifférence la plus complète.    Trente ans de crise de banlieues, et donc trente ans de politique de la ville. Pour quels résultats ? Les émeutes de l’automne 2005 ont montré combien les coupures entre la République et ses enfants des quartiers étaient profondes. Fracture sociale, économique, identitaire, mais aussi ethnique, tant les phénomènes de ségrégation sont importants. La gravité de cet épisode de violences collectives, inédit depuis Mai 68, avait eu un mérite : replacer la question des banlieues au coeur de l’agenda politique.    La campagne présidentielle de 2007 avait ainsi vu Nicolas Sarkozy reprendre l’idée d’un plan Marshall des banlieues pour traduire sa volonté de replacer les quartiers dans l’ordre républicain. Cette ambition s’était traduite par la nomination de figures de la diversité au sein du gouvernement – Rachida Dati à la justice, Fadela Amara à la politique de la ville. La candidate socialiste, Ségolène Royal, avait insisté sur le métissage bienvenu de la société française, s’attirant un soutien massif des électeurs des quartiers et contribuant à la hausse spectaculaire de la participation en mai 2007.    Cinq ans plus tard, le bilan est médiocre. Le plan Marshall est oublié, faute d’ambitions, faute de moyens – on peine même à se rappeler qu’il existe un ministre de la ville dans le gouvernement, le centriste Maurice Leroy, dont la principale mission, jusqu’à présent, a été d’accompagner discrètement les baisses de subventions. Les indicateurs sociaux sont toujours aussi dégradés, signe que la réduction promise des inégalités est restée une promesse : un tiers de la population des zones urbaines sensibles (ZUS) vit sous le seuil de pauvreté ; avec plus de 40 % de chômeurs parmi les jeunes actifs, la situation des ZUS se rapproche de celle des pays d’Europe du Sud, voire du Maghreb.    Si le visage des quartiers a commencé à changer, au niveau de l’urbanisme, grâce aux milliards investis dans la rénovation urbaine depuis le lancement du plan Borloo en 2003, les tensions entre jeunes et policiers restent considérables. Et les élus, comme les responsables associatifs, ne cessent de répéter qu’ils demeurent en permanence sur le fil du rasoir sécuritaire, à la merci d’une course-poursuite ou d’un incident dégénérant en émeutes.    Car ces cinq dernières années, les violences urbaines se sont banalisées au point que le ministère de l’intérieur préfère censurer la publication des statistiques sur les voitures brûlées (plus de 40 000 en 2010). Elles sont aussi montées d’un cran : les policiers sont régulièrement visés par des tirs d’armes, comme à Grenoble, à Grigny ou à Villiers-le-Bel, et s’inquiètent à l’idée de devoir affronter des situations de  » guérilla urbaine  » ; désormais, aussi, des élus de gauche, comme le maire de Sevran, Stéphane Gatignon, en viennent, désespérés, à réclamer l’aide de l’armée pour tenter de restaurer l’ordre face aux mafias locales de la drogue.    Cet échec n’est pas seulement celui des politiques publiques, qui ont servi de filet de sécurité mais ne sont pas parvenues à freiner la ghettoïsation. Des Minguettes, touchées par de nouvelles émeutes urbaines en 1983, était née la  » Marche des beurs « , spectaculaire irruption des enfants d’immigrés sur la scène médiatique et politique, immédiatement récupérés par le Parti socialiste et François Mitterrand. Près de trente ans plus tard, le constat est désespérant : la classe politique française – mâle, âgée et blanche – reste désespérément fermée aux élites des quartiers et de la diversité. A droite comme à gauche.    Le Parlement français est évidemment une caricature. Mais la fracture politique est aussi visible dans les collectivités locales, celles-là mêmes qui devraient favoriser et préparer l’émergence des futures élites. Nous en sommes très loin. Un seul exemple : en Seine-Saint-Denis, département le plus métissé de France, département où la gauche dispose de bastions solides, on ne compte aucun maire issu de la diversité. Cette dimension de la crise de la représentation devrait interpeller la société. Mais elle reste dans l’angle mort des débats politiques. Jusqu’aux prochaines émeutes.    Luc Bronner Spécialiste des banlieues Rédacteur en chef du Monde  

Angleterre, France : aux mêmes causes les mêmes effets ?

16 août 2011 | Au Parti Socialiste, La politique de la ville

   Plusieurs spécialistes voient des liens entre le triste spectacle des violences en  Angleterre et les     émeutes qui ont eu lieu en France en 2005. Pour ces mêmes spécialistes certains éléments du contexte social sont les mêmes, à Paris et sa banlieue et à Londres. Comme à Paris la question est la même : Qui sont ces jeunes ? Comme à Paris, à Londres les jeunes qui revendiquent vivement, en l’occurrence contre la violence policière, sont dépassés par les casseurs qui prennent leur plaisir par la destruction et le vole.  Il y a surtout la pauvreté, l'exclusion sociale, il y a le sentiment, pour les jeunes, d'être ignorés par les autorités. Les gouvernements Français comme Britannique ont délaissé les parcs HLM et les laissent à se transformer en des ghettos urbains, frappés par un fort taux de chômage, d’échec scolaire et d’insécurité. Au quotidien, les jeunes vivent un sentiment d'exclusion et une crise identitaire de plus en plus difficile. Le désarroi grandit. Au fils des années, la tension devient de plus en plus palpable malgré les cris d'alarmes des acteurs sociaux et des élus locaux.  2005 n’a rien changé à ce phénomène en France : disparité devant l’école qui joue un rôle de reproduction des inégalités et même plus grave les accroissent (dernière enquête PISA) disparité devant l’emploi, disparité face au logement…  Cette situation créée de la désespérance et la désespérance est dangereux car génèrent des mouvements violents. Aucune agression ne doit et ne peut être justifiée, elle doit même être condamnée. Une fois cette condamnation faite il faut trouver des solutions. Il est vrai que contrairement à l’Angleterre on a en France des services sociaux, des associations qui maintiennent un certain niveau de cohésion sociale encore ne faut il pas les supprimer mais cela n’est pas suffisant.  La future équipe gouvernementale, la gauche en particulier, ne devra pas faire l’impasse sur le règlement du problème des banlieues et des injustices qui minent ces territoires. La crise qui frappe notre pays aura des répercussions plus lourdes sur les territoires relégués avec le risque de revoir les événements de 2005 se reproduirent.  Il est indispensable de mettre au cœur de tout  pojet d’avenir la Jeunesse, créer de l’espoir.                                                    

Pendant les vacances scolaires les écoles de Nanterre sont encore en pleine activité !

8 juillet 2011 | Education

Et oui quand les petits nanterriens sont en vacances et qu’ils quittent les écoles de Nanterre ce sont d’autres personnes qui prennent le relais : le personnel de la ville de Nanterre se hâte pour tout nettoyer de fond en comble. Ce sont « les grands ménages ». Tout est nettoyé dans le moindre recoin. Tout doit briller pour accueillir nos jeunes enfants dans les meilleures conditions de propreté en septembre.  C’est aussi une période utilisée pour réaliser de grands travaux dans les écoles, entretenir, réhabiliter, améliorer les conditions d’accueil des enfants de Nanterre et du personnel enseignant. Plus de 1,5 millions d’euros sont consacrés par la ville de Nanterre pour ces travaux. Le choix des travaux est réalisé en concertation avec le corps Enseignant.  Le mandat est particulièrement marqué par des investissements important de la ville en direction de nos écoles. La construction de l’IME (Institue Médicaux Educatif Rue Paul Vaillant Couturier) donne tout son sens à notre politique de la réussite pour tous.  De même la construction du groupe scolaire et de loisirs Lucie Aubrac pour 18 millions d’euros devrait permettre à terme aux enfants des Provinces Françaises de côtoyer les enfants des logements issues des « terrasses ». Cette nouvelle école devrait ouvrir en janvier 2012. Nanterre Fort Ensemble pour Demain !           [caption id="attachment_335" align="aligncenter" width="224" caption="Visite chantier Lucie Aubrac juillet 2011"][/caption]